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Haïti: Le Pont de Montrouis ouvert à la circulation
Plus d'un an après sa destruction par le passage successif de plusieurs cyclones et ouragans, le pont jeté sur la rivière de Montrouis dans les limites des départements de l'Ouest et de l'Artibonite a été une nouvelle fois ouvert à la circulation le samedi 19 septembre 2009, par le Premier ministre haïtien, Michèle D. Pierre-Louis et le ministre francais des Affaires étrangères, Bernard Kouchner en visite en Haïti.
Pacifiques comme eux seuls, les riverains qui demandaient la construction des murs de soutènement pour protéger l'ouvrage d'art récemment construit et la berge de la rivière ont fait entendre leur voix à toutes les personnalités présentes. Ils ont inscrit leurs revendications sur des pancartes et attiré l'attention des autorités qui promettent des solutions pour bientôt.
« Je viens d'entendre personnellement les recommandations faites et les engagements du ministre des Travaux publics », a souligné le Premier ministre Michèle Duvivier Pierre-Louis, qui appelle les habitants de Montrouis à bien prendre soin du nouvel ouvrage.
Le ministre français des Affaires étrangères a renouvelé le soutien de la coopération de son pays à son ancienne colonie, peu avant de couper le ruban de l'inauguration qui met fin à 382 jours d'isolement entre les deux parties desormais reliées par ce pont long de 51,60 mètres.
« Un nouveau pont est donc jeté entre Montrouis et le Bas-Artibonite. Il l'a été donc dans un délai raisonnable de huit mois, impliquant deux entreprises locales-Ecomar et Cesa- sous-traitantes de Matière qui a eu la charge de la reconstruction de l'ouvrage. La structure métallique du nouveau pont de Montrouis fait l'objet d'un brevet et se trouve être le premier pont du genre implanté en Haïti », a indiqué le ministre des Travaux publics, Transports et Communications, Jacques Gabriel, qui promet de prendre les mesures appropriées pour protéger le pont en amont et en aval ainsi que les riverains. Il se souvient que l'urgence de rétablir la communication en ce point critique du réseau a imposé une solution rapide, techniquement acceptable et facilement réalisable.
Les études et la construction du pont de Montrouis ont été financées par l'Agence francaise de développement (AFD) à hauteur de 1 288 700 euros.
Plus d'un an après sa destruction par le passage successif de plusieurs cyclones et ouragans, le pont jeté sur la rivière de Montrouis dans les limites des départements de l'Ouest et de l'Artibonite a été une nouvelle fois ouvert à la circulation le samedi 19 septembre 2009, par le Premier ministre haïtien, Michèle D. Pierre-Louis et le ministre francais des Affaires étrangères, Bernard Kouchner en visite en Haïti.
Pacifiques comme eux seuls, les riverains qui demandaient la construction des murs de soutènement pour protéger l'ouvrage d'art récemment construit et la berge de la rivière ont fait entendre leur voix à toutes les personnalités présentes. Ils ont inscrit leurs revendications sur des pancartes et attiré l'attention des autorités qui promettent des solutions pour bientôt.
« Je viens d'entendre personnellement les recommandations faites et les engagements du ministre des Travaux publics », a souligné le Premier ministre Michèle Duvivier Pierre-Louis, qui appelle les habitants de Montrouis à bien prendre soin du nouvel ouvrage.
Le ministre français des Affaires étrangères a renouvelé le soutien de la coopération de son pays à son ancienne colonie, peu avant de couper le ruban de l'inauguration qui met fin à 382 jours d'isolement entre les deux parties desormais reliées par ce pont long de 51,60 mètres.
« Un nouveau pont est donc jeté entre Montrouis et le Bas-Artibonite. Il l'a été donc dans un délai raisonnable de huit mois, impliquant deux entreprises locales-Ecomar et Cesa- sous-traitantes de Matière qui a eu la charge de la reconstruction de l'ouvrage. La structure métallique du nouveau pont de Montrouis fait l'objet d'un brevet et se trouve être le premier pont du genre implanté en Haïti », a indiqué le ministre des Travaux publics, Transports et Communications, Jacques Gabriel, qui promet de prendre les mesures appropriées pour protéger le pont en amont et en aval ainsi que les riverains. Il se souvient que l'urgence de rétablir la communication en ce point critique du réseau a imposé une solution rapide, techniquement acceptable et facilement réalisable.
Les études et la construction du pont de Montrouis ont été financées par l'Agence francaise de développement (AFD) à hauteur de 1 288 700 euros.
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